Le Dioncébon
Trouvé en 2050 dans les environs des septièmes continents, ce spécimen a été remarquablement conservé. Descendant du poisson, appelé communément, « poisson porc épic », dont le nom scientifique était le Diontidé*, celui-ci porte le nom de Dioncébon, en mémoire de son ancêtre maintenant disparu, et de son grand besoin d’ingérer des quantités énormes de matières plastiques.
Ce qui explique sa métamorphose exceptionnelle. D’autres spécimens ont été aperçu, toujours autour des septièmes continents où ils trouvent leur nourriture à volonté.
Il est difficile de les capturer, en raison de l’état de la mer… et de ses épines qui percent les filets.
Extrait du texte « A la recherche d’un monde perdu et de son évolution » de Mamoune Baltazars, scientifique océanique mondialement reconnu. L’an 2100.
https://www.youtube.com/watch?v=ixvOBwPqWDs&feature=youtu.be
*Diontidé : De la famille des Diodontidés, ces poissons, étaient caractérisés par leur capacité à pouvoir gonfler leur corps d'eau, ou d'air, pour effrayer les prédateurs. Ils partageaient cette particularité avec leurs cousins, les poissons ballons, mais, à la différence de ces derniers, les poissons porc-épic avaient en plus des épines, qui se hérissaient quand le poisson se gonflait
.Il était appelé également le « Diodon » qui signifie « deux dents » car sa mâchoire en forme de bec, n’avait que deux dents sur chaque mâchoire
Sur les côtes de Hawaï et l’Amérique du Nord. Des millions de tonnes de plastiques s’amassent sur une superficie estimée à 3,4 millions de km² selon le Centre National d’Information Indépendant sur les Déchets (crée en 1997)
Ce « continent » s’est progressivement formé dans l'océan Pacifique Nord,récoltant et concentrant via les courants marins des déchets provenant d'Asie du Sud-Est et d'Amérique de l'Ouest. .
La catastrophe de Fukushima aurait contribué, à elle seule, à l’ajout de trois millions de tonnes de déchets.
Extraits de recherches faites sur Internet